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Critique musicale / Soirée parisienne. Thaïs

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CRITIQUE MUSICALE
Académie nationale de musique. — 1re représentation de Thaïs, comédie lyrique en trois actes et sept tableaux. Poème de M. Louis Gallet, d’après le romande M. Anatole France. Musique de M. Jules Massenet.

Il est minuit. La toile s’abaisse au bruit des applaudissements et des acclamations ; mais il n’y a pas à se le dissimuler : Thaïs, que l’Opéra a représenté hier, a trompé les espérances que les admirateurs et les amis du jeune maître Massenet (et ils sont nombreux) avaient cru pouvoir fonder sur cette œuvre. On a écouté avec respect, avec sympathie, mais avec une certaine froideur.

Est-ce parce que la pièce est en prose et que le public s’est trouvé dérouté d’entendre résonner d’autres rythmes que ceux auxquels les poètes l’ont accoutumé ?

— Je ne crois pas qu’on s’en soit aperçu.

Est-ce parce que le sujet manque de clarté ?

— Non, on comprend et, d’ailleurs, les interprètes se distinguent par une prononciation excellente et une articulation absolument nette.

— Les décors ?

— Ils sont superbes, sauf le troisième tableau (chez Thaïs) qui a l’air d’un guignol et le sixième (la tentation) dont la toile de fond est aussi laide que le ballet est mal réglé (ce qui n’est pas peu dire). Quant à la mise en scène, elle est bien et la direction a convenablement fait les choses.

— Mais, alors, c’est la musique ?

— Non. ce n’est pas la musique... Pour n’être pas du Massenet de derrière les fagots, c’est tout de même l’œuvre d’un maître. C’est surtout la pièce qui manque d’intérêt. Jugez-en plutôt.

*

Alexandrie est livrée au péché et parmi les prêtresses du culte de Vénus qui y règnent en souveraines et qui remplissent la ville de scandale et de honte, Thaïs s’est fait depuis longtemps remarquer par ses exploits érotiques et sa beauté triomphante.

Athanaël, jeune cénobite, plein d’enthousiasme et de foi, a formé le projet d’arracher cette âme au vice et de la gagner à Dieu. Il arrive à Alexandrie farouche et superbe, va trouver la courtisane et lui tient un langage si nouveau, si passionné, si élevé, qu’il la décide à renoncer au monde, à se faire chrétienne et à entrer dans un monastère ; mais, victime de son dévouement et de ses souvenirs, il s’éprend peu à peu de celle qu’il a sauvée. Rendu fou par des songes lascifs, ivre d’amour, esclave de sa chair, maudissant la vertu et reniant Dieu, il veut reprendre Thaïs au couvent où elle est enfermée. Il court et pénètre auprès d’elle juste à temps pour recevoir son dernier soupir.

*

Dans le très beau roman d’Anatole France, ce sujet est développé avec un art exquis et l’auteur, dans une langue admirable, dépeint, en de longs et intéressants détails, l’état d’âme de ses personnages.

M. Louis Gallet, pour faire de Thaïs une comédie lyrique, a commencé par dépouiller le sujet de tous ces détails (comme on doit faire quand on veut adapter un roman à la scène). Mais il a eu le tort de ne pas s’apercevoir alors qu’une intrigue aussi menue ne suffisait pas à remplir trois actes.

Pour un auteur qui a eu tant de pièces jouées, c’est inexcusable. Du reste je n’ai jamais compris la vogue dont jouit M. Gallet auprès des directeurs de nos théâtres subventionnés. Il rime agréablement, c’est vrai, mais il a une façon bien étrange de faire du théâtre. Dans Thaïs, il n’y a que deux situations dramatiques. L’une est au troisième tableau (quand Athanaël essaie de convertir Thaïs), l’autre est à la fin de la pièce (lorsqu’il veut l’arracher au couvent). Eh bien, M. Gallet a raté la première et n’a pas traité la seconde !

C’est dommage, car on ne fait rien avec rien, et encore que M. Massenet soit un maître savant, habile et expérimenté, il ne peut donner la vie à un morceau d’argile ni rendre intéressante une pièce qui ne l’est pas. Au dernier acte, il a tiré, lui, le musicien, tout le parti possible de la situation. Il est regrettable qu’il ait été si mal secondé par son collaborateur.

Il y a de fort beaux passages dans cette partition, écrite très hâtivement, m’a-t-on dit — et je le croirais volontiers parce que j’y ai trouvé aussi des choses un peu lâchées qui sentent par trop l’improvisation, tel par exemple (je cite au hasard), le motif qui annonce l’arrivée de Thaïs au second acte — mais la couleur générale de l’œuvre est d’un charme pénétrant et j’ai noté au passage, en dehors de ces formules tendres et enamourées dont l’illustre auteur de Manon a le secret, des parties de phrases gracieuses, des détails ingénieux, des accompagnements délicats et spirituels et des harmonies nouvelles et inattendues. Je précise : la fin du premier tableau est une trouvaille au point de vue scénique. Tout le second acte est charmant d’un bout à l’autre et la cantilène de Thaïs « Qui te fait si sévère ? » soutenue par un ravissant dessin de flûte et de violon alternés, m’a plu infiniment. L’entr’acte du troisième tableau est original. On a reproché à l’air de Thaïs de contenir des réminiscences de Manon, mais il n’est pas défendu, que je sache, à un propriétaire de cueillir des fleurs dans son propre jardin.

On a beaucoup applaudi une « méditation » pour violon solo, jouée à ravir par M. Berthelier ou M. Brun (je ne sais lequel de ces deux virtuoses du premier pupitre) mais je la préfère quand elle revient au moment de la mort de Thaïs. Pourquoi ? je n’en sais rien ! C’est peut-être parce que à la harpe, à la flûte et au violon s’ajoute la voix si sympathique de Mlle Sibyl Sanderson.

C’est au quatrième tableau que se trouve la perle de la partition, l’ariette en style ancien : « l’Amour est une vertu rare ». Le commencement du final est d’une joyeuse élégance. Dans le ballet je signale une valse entraînante et une gavotte finement orchestrée ; enfin, au septième tableau, la mort de Thaïs a produit un grand effet dont tout l’honneur, je le répète, revient à M. Massenet.

*

L’interprétation est en tous points remarquable. D’abord Mlle Sibyl Sanderson, gracieuse et belle autant qu’on peut l’être, mérite tous les éloges pour le charme de sa voix, la hardiesse et la pureté de ses notes élevées et aussi par son jeu intelligent ; elle a été acclamée et rappelée à tous les actes. C’est un des plus brillants débuts auxquels il m’ait été donné d’assister. M. Delmas m’effraie un peu. Cet excellent artiste possède une voix magnifique de basse. C’est avec peine que je l’ai vu créer hier un rôle de baryton, écrit naturellement beaucoup trop haut pour lui. Mais cette voix est si généreuse et l’habileté du chanteur est si grande qu’il s’est tiré avec le plus grand honneur de cette périlleuse entreprise. De plus, comme M. Delmas est très bon comédien, il a composé le personnage d’Athanaël avec beaucoup de tact et de soin et s’y est fait chaudement applaudir.

Qu’il prenne garde, cependant : à tenter de pareils tours de force, on risque quelquefois de s’abîmer la voix.

MM. Alvarez (Nicias) et Delpouget (Palémon) ont été très remarqués. Mlles Marcy, Héglon et Beauvais sont bien jolies à regarder et bien agréables à entendre ; enfin Mlle Rosita Mauri, l’impeccable danseuse, a été, comme toujours, parfaite.

Pour terminer j’envoie à MM. Taffanel, Paul Vidal et Léon Delahaye ainsi qu’à l’orchestre et aux chœurs mes plus vives félicitations.

Émile Pessard.

SOIRÉE PARISIENNE
THAÏS

Il se mène depuis une quinzaine de jours un grand bruit autour du nouvel opéra de M. Massenet et je le regrette beaucoup pour lui. Ces indiscrétions, ces interviews, ces papotages avant la lettre, ces éloges anticipés, mettent le spectateur en garde contre les surprises, et « l’induisent en défiance » ; ces procédés rappellent les gens qui avant de vous raconter une histoire disent : « Vous allez bien rire. » On ne rit pas du tout : on eût ri si le conteur ne vous avait prévenu. Après Thaïs, on a murmuré : « Comment, c’est tout ça ?... »

Eh bien, oui, c’est « tout ça », mais tout ça c’est déjà gentil ; vous allez voir.

Dans un article consacré à la Thaïs de M. A. France, un de ces petits livres dont on écrit que « seuls les lettrés le goûtent », en se regardant le nombril, — M. Paul Desjardins s’écriait : « Quel livret pour Massenet ! » ou quelque chose d’approchant. Massenet n’a pas le temps de lire les journaux, c’est Mme Massenet qui lui signala ce passage de la chronique ; le compositeur fit acheter le livre, le lut et fut vaincu.

Quelques jours après, M. Louis Gallet arrive chez Heugel, car c’est chez Heugel qu’on rencontre Massenet, et pas ailleurs, et propose au maître un livret de Thaïs.

— Comme ça se trouve ! s’écrient en chœur le chef et les employés du Ménestrel.

Compositeur et librettiste furent vite d’accord et vite se mirent à l’œuvre ; Sybil Sanderson allait entrer à l’Opéra ; il lui fallait Thaïs pour ses débuts, et le 1er novembre dernier à 1 heure pour le quart, les études commençaient à l’Académie nationale de musique et de danse sous la direction de M. Paul Vidal, l’élève favori du maître.

M. Léon Delahaye fit travailler les chœurs ; M. Vidal enseigna leurs rôles à Mme Héglon, Marcy et Beauvais, et à MM. Alvarez, Delpouget, Euzet. Mlle Sanderson a étudié avec MM. Massenet et Paul Vidal, et M. Delmas enfin a étudié avec M. Massenet seul.

Les rôles ont été répétés en double ; c’est M. Marty qui a donné leçon à Mlles Marcy et Berthet pour Thaïs, Agussol et Lowentz pour Crobyle, Beauvais et Fayolle pour Myrtale, et à MM. Bartet pour Athanaël, Vaguet pour Nicias, et Douaillier pour Palémon.

Les répétitions d’ensemble ont commencé en décembre, sous la direction de M. Gailhard, au Buffet, ce qui de temps en temps faisait dire à Heugel, toujours joyeux :

— Cinq minutes d’arrêt... Buffet !

L’œuvre a vu hier soir le feu de la rampe et nous le feu des yeux de l’exquise Sybil Sanderson.

Allumant plus de feux qu’elle n’en veut éteindre.

Je ne marcherai dans les plates-bandes de M. Pessard en vous parlant de la musique ; qu’il me suffise de vous conter qu’on s’est pâmé avec de petits frissons dans le dos — oh ! la petite secousse de Barrès ! — quand Mlle Sanderson a entonné l’hymne à Eros — ne pas lire l’hymne... russe !

— Ah ! je ne pleure pas de l’avoir eu pour maître, Mais d avoir méconnu sa volonté ! Il défend qu’une femme Se donne à qui ne vient point en son nom. Et c’est pour cette loi qu’il convient qu’on l’honore !

Hein ? quoi ? Vous me regardez de travers comme si vous voyiez tout à coup s’envoler l’obélisque ? Ah ! j’y suis ! vous me demandez si ce sont des vers ? Non, mesdames, non, messieurs ! Les opéras en vers c’était bon dans le temps, quand la musique s’unissait à la poésie dans une communion d’art. Nous autres, grands médecins, nous avons changé tout cela et nous faisons des opéras d’une méthode toute nouvelle.

Ce que vous venez de lire, c’est de la prose rythmée ; cela s’appelle un poème mélique. M. Gevaërt a pris la peine de le baptiser. M. Gevaërt est Belge et aujourd’hui tout art, vous le savez, nous vient de la Belgique ; aussi le mot poème mélique a-t-il fait fortune. Je connaissais déjà Mélanie, Mélancolie, Mélodie, Mélopée, Mélisse, Méline, Mélinite et même ma petite camarade Mélie, et voici le poème mélique ! Merci, dieu des Belges, ça me manquait.

Entre nous, cette prose rythmée est insupportable : quand M. P. Milliet traduisit Cavalleria Rusticana, il le fit en prose cadencée ce qui n’est pas la même chose ; il remplaçait sur des airs déjà connus des syllabes italiennes par des syllabes françaises, sans s’inquiéter du rythme, de la mesure et il avait bien raison.

Ce qui rend particulièrement désagréable le poème de Thaïs c’est justement cette prétention au rythme, au nombre, à la césure ; pour nos oreilles françaises, habituées à la rime, il y a une vraie souffrance ; on l’attend, cette rime, et elle ne vient pas.

Voyez ce joli vers imité de l’antique, délicieusement soupiré par Sanderson :

Quand Nicias m’aimait, il m’offrit cette image...

Vous attendez la suite : la voici :

Nicias ! ah ! maudis la source empoisonnée
D’où te vient ce présent ! Qu’il soit anéanti.
Et tout le reste à la flamme, à l’abîme !

Eh bien, franchement, non ! Cette innovation, réclamée par les musiciens, n’est pas heureuse ; tout librettiste devrait refuser aux compositeurs de souscrire à un tel caprice de leur fantaisie, et conserver les bonnes règles de la prosodie.

Vous me direz que les vers d’opéra ne valent pas cher en général, j’y souscris ; mais, dans notre langue, qui n’a pas d’accents, c’est la répétition du son, la rime, qui est le vers même : des vers comme ceux du poème mélique (salue, Méfie !) sonnent faux et déchirent les oreilles. J’y reviendrai peut-être, dans une autre partie de ce journal. Il y avait hier soir dans tout le public une sorte de gêne, de contrainte, de malaise, dont on ne se rendait pas compte. On ne doit s’en prendre qu’au poème — qu’admire d’ailleurs M. Anatole France ; oui, mes enfants ! — et à cette forme étrange de vers qui n’en sont pas, où la césure est maintenue, où la rime manque. Il fallait courageusement faire de la prose comme M. Jourdain, supprimant la césure en même temps que la rime ; cela eût été tout aussi poétique

Mais ne nous aurait pas écorché le tympan.

Encore un mot à ce sujet : un de nos confrères a écrit que Thaïs était en prose rythmée comme Amphitryon ! Confondre l’exquis vers libre de Molière avec le poème mélique, c’est plutôt gai !

Puisque prose rythmée, il y a, rythmiquement prosons.

Donc le premier tableau se passe en Thébaïde. Le Nil s’écoule au fond en écharpe d’argent ; Les Cénobites sont à table. Leurs tentes derrière eux tendent leurs toiles blanches ; Et de grands arbres verts garnissent les côtés. Le décor est assez joli, signé Jambon. Palémon préside au repas. Athanaël, rêveur, arrive de la ville. Les vices de Thaïs offensent sa vertu ; Il veut la convertir et tout d’abord se couche Sur un lit de carton où l’on doit être mal. La nuit se fait : Le fond s’entr’ouvre et la lumière Enveloppe, nudité merveilleuse et troublante, Comme une robe d’or le corps de Mante trois. Elle est nue, admirablement nue et charmeuse, Et la lascivité de sa danse du ventre Et du reste, apportant dans la moelle des os Des frissons fous, est très dangereuse aux vieillards. Athanaël, après la vision, s’éveille. II ira chez Thaïs, la lèvera pour Dieu ! Palémon l’en détourne ; il l’envoie au Démon.

Palémon m’aimerait encore.
J’aimerais encore Palémon !

Tandis qu’on applaudit Mante trois — Mante verte ! — Les femmes du grand monde ont des airs très pincés, Rageant de ne pouvoir nous en montrer autant.

Au deuxième tableau, c’est dans Alexandrie, Le hall de Nicias et sa vaste terrasse Et la ville au lointain, et le ciel, et la mer. Des bravos mérités accueillent Carpezat qui peignit ce décor charmant. Mais Nicias Appuyé sur Héglon et Marcy, ses servantes, Troublantes toutes deux dans la tunique ouverte, Apparaît, voit Athanaël et lui procure Une robe de soie avec des broderies. Puis Thaïs elle-même arrive comme un rêve ; ô divine Esclarmonde, ô Manon, Sanderson : Et que je voudrais vivre en ton antre, ô Sybil ! Elle est nue et plus nue encore sous la gaze, Avec le manteau bleu sur la robe rosée Qui semble avoir les transparences du cristal. Quel corps et que d’attraits ! Quel charme et quels délices ! Egrenant sans compter les perles de ses dents Et celles de sa voix, elle est l’ensorceleuse.

Athanaël ira chez elle au tableau trois. Intérieur luxueux éclairé par en haut D’une lumière qui traverse des cascades ; Des lits d’amour, des lits de repos et Vénus Figurine Tanagréenne de l’époque. Or Thaïs apparaît dans sa robe rosée ; Corsage très ouvert, épaulette en brillants, Diadème dans la masse d’or des cheveux, Cothurnes à l’antique et charme à la moderne. Athanaël vient la raser ; elle s’agace ; Le rideau tombe sur une attaque de nerfs.

Décor vraiment très beau pour la fin de cet acte, Apparaissant après un prélude charmant. Maison de Nicias et maison de Thaïs, Chez lui la volupté, chez elle la vertu. Car elle est convertie, hélas ! la pécheresse, Et, malgré les amants qui la voudraient garder, Elle s’enfuit bientôt avec le cénobite, Après avoir chanté l’Eros — qui mène A Dieu.

Comme au premier tableau, voici la Thébaïde, Où, dans sa pose hiératique, Athanaël Sur son lit de carton attend le changement. Il s’exécute à vue, et le ballet commence. Esprits vêtus de bleu, très nus, — comme aux Folies-Bergère — vont chatouillant Delmas pour qu’il rie ; Ils l’entraînent ; Mauri de ses pieds fait de l’œil, C’est la « Perdition » que fait la ballerine. Comment lui résister ? on ne résiste pas. Des sphinges et des gnomes, des Sirènes très vertes, Des fleurs de chair, offrant leur calice et l’ivresse, Tout conspire à tenter Delmas le vertueux. Une étoile au ciel brille enfin : c’est le salut. Mais Mauri redoublant de grâces et Thaïs Apparaissant au fond, le ténor est vaincu. Le reste du ballet n’est que confusion, Mal réglé, dans une obscurité déplorable, Avec d’affreux éclairs aveuglants sans raison ; Pas d’ensemble, on croirait voir danser Charenton.

Jardin de monastère au septième tableau, Joli de style avec sa rose architecture. Sur la toile cirée à fleurs de couleur bleue Thaïs attend la mort : arrive Athanaël ; mais elle adore Dieu ; lui n’aime que Thaïs. Elle meurt, il est fou et le rideau s’écroule.

Tel est, en résumé le nouvel Opéra. Les Costumes signés Bianchini nous ont plu : La mise en scène est bonne et l’orchestre vainqueur. On applaudit le maître, on applaudit Sybil, J’applaudis tout le monde et signe.

Mirliton.

Personnes en lien

Compositeur

Émile PESSARD

(1843 - 1917)

Compositeur, Pianiste

Jules MASSENET

(1842 - 1912)

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Thaïs

Jules MASSENET

/

Louis GALLET

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date de publication : 31/10/23