Panis angelicus
Ce Panis angelicus fait partie, avec un Tota pulchra es, un Ave verum, un Laudate dominum et deux versions d’un Tantum ergo, des Six Motets pour chant publiés chez Hamelle en 1906. L’œuvre, écrite pour ténor ou soprano solo accompagné à l’orgue, présente une dernière partie pouvant être interprétée par un chœur mixte ou par le soliste. En faisant débuter cette courte pièce comme une antienne grégorienne, Paladilhe s’inscrit parfaitement dans le renouveau de la musique religieuse française au début du XXe siècle.