Boieldieu en France (1789-1914)
Cet article interroge la notion de transferts culturels entre Paris et les départements de la Révolution française à la Première Guerre mondiale, dans un genre précis qui est celui de l’opéra-comique, et pour une figure particulière qui est celle de François-Adrien Boieldieu.
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data di pubblicazione : 28/10/23
L'opéra-comique chez Saint-Saëns
Nous admirons et nous chérissons les richesses de la musique française de la Belle Époque, en parallèle avec une période également étonnante de la peinture française. Les musiciens, grands ou impressionnants, sont abondants à cette époque, et les institutions musicales fleurissent, surtout les associations et les orchestres récemment fondés. Mais nous ne reconnaissons que trop rarement le fait que la musique a aigrement souffert de la pauvreté de la critique musicale d’alors, et des torts faits par les critiques ignorants ou malveillants.
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data di pubblicazione : 14/09/23
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data di pubblicazione : 16/09/23
Djamileh de Bizet et La Princesse jaune de Saint-Saëns, compagnes d'infortune
Les deux ouvrages lyriques dont il est question affichent un grand nombre d’éléments en commun, à commencer par leur chronologie concomitante qui renvoie au lendemain de « l’année terrible » s’écoulant de la chute de Napoléon III en septembre 1870 à l’écrasement de la Commune de Paris au printemps 1871. Convoquer la veine orientaliste et miser sur l’exotisme aide à s’extraire du contexte dramatique que le pays vient de connaître. Viser des horizons lointains apparaît comme une mise à distance des drames qui viennent de se jouer ici même.
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data di pubblicazione : 13/09/23
Yes !
En 1928, le compositeur de La Java et J’en ai marre n’en est plus à son premier coup d’essai dans le domaine de l’opérette. Avec Henri Christiné (1867-1941), il compte parmi les maîtres du genre, dignes successeurs des Hervé (1825-1892), Jacques Offenbach (1819-1880) et autres André Messager (1853-1929). Pourtant, sa partition d’opérette la plus réussie et la plus applaudie en son temps, Yes !, demeure méconnue hors du cercle des happy fews, tout comme d’ailleurs son compositeur.
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data di pubblicazione : 14/09/23
Frédégonde
Apprécié en son temps pour quelques opéras comiques – Madame Turlupin (1872) et Piccolino (1876) –, chargé, à la mort de Bizet, de mettre en récitatifs les dialogues parlés de Carmen, collaborateur posthume d’Offenbach dont il paracheva Les Contes d’Hoffmann, titulaire discret, au Conservatoire, d’une classe de composition où Debussy et Dukas trouvèrent l’amitié d’un maître, Ernest Guiraud, s’il faut dévoiler son nom, mourut brusquement à 54 ans sans avoir pu achever un drame lyrique en 5 actes...
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data di pubblicazione : 13/09/23
Le Docteur Miracle de Charles Lecocq : le concours et l’œuvre
Le concours d’opérette lancé par Offenbach en juillet 1856 a pour enjeu, en sus des droits d’auteurs associés aux représentations sur son théâtre des Bouffes-Parisiens de la partition couronnée, une somme de 1200 fr assortie d’une médaille d’or d’une valeur de 300 fr. Si l’opportunité est assez inédite, les conditions n’ont rien de très original.
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data di pubblicazione : 19/10/23
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data di pubblicazione : 16/09/23
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data di pubblicazione : 16/09/23
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data di pubblicazione : 16/09/23
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