Le Devin loin du village. La réception de l’opéra de Rousseau en son temps
On sait que Jean-Jacques Rousseau se piquait d’être musicien… En son temps, son Devin du village fit fureur ! On ignore aujourd’hui l’incroyable réception de cet opéra, qui fut à l’origine de toute une série d’œuvres directement inspirées par son canevas. Parmi celles-ci, une parodie de Mme Favart, un opéra en russe créé à Moscou en 1777, ou encore l’œuvre d’un jeune compositeur de 12 ans : Mozart. Mais la récolte ne s’arrête pas en si bon chemin.
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date de publication : 13/09/23
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date de publication : 10/01/24
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date de publication : 17/09/23
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date de publication : 16/09/23
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date de publication : 18/09/23
Interférences du fait pictural avec la scène : le cas emblématique du final d’acte
On sait la scène réinventée, dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, via l’esthétique du « tableau » empruntée à la peinture de chevalet. On sait moins qu’en retour, tout le XIXe siècle durant, avec Jean-Léon Gérôme comme point d’orgue, la scène a profondément marqué le peintre narrateur, celui qui exposait au Salon des tableaux d’histoire.
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date de publication : 15/09/23
Dalayrac, la fin d’une époque
Mystérieuse figure que celle de Nicolas-Marie d’Alayrac (ou Dalayrac). Avec 55 ouvrages lyriques composés entre 1781 et 1811, il est, aux côtés de Grétry, le plus prolifique des compositeurs d’opéra-comique du dernier XVIIIe siècle. À la différence de celui-ci, qui publie des milliers de pages de souvenirs et d’essais donnant accès à son œuvre et à son point de vue intime sur son temps, Dalayrac ne laisse à la postérité aucun écrit, sinon quelques lettres éparses au propos anodin.
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date de publication : 13/09/23
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date de publication : 16/09/23
La villa Médicis au temps d’Ingres
Tout commença mal. Ingres venait de subir un échec au Salon de 1834 avec une oeuvre (Le Martyre de saint Symphorien) à laquelle il attachait une extrême importance. Son « maître tableau » avait été éclipsé par L’Exécution de Jane Grey de Paul Delaroche. Ingres en conçut une amertume immense, se considérant un homme fini. Susceptible, boudeur et têtu, tel était « Monsieur Ingres », cet artiste qui représentait une institution à lui seul – incarnation des notions abstraites de classicisme ou d’École –, et c’est ce qui le rend si attachant.
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date de publication : 09/10/23
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date de publication : 09/10/23
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