Salta al contenuto principale

Debussy et le prix de Rome

Lorsque Claude Debussy remporte en juin 1884 le prix de Rome, il a alors 22 ans et se prénomme en réalité Achille. Quelques années plus tard, en décembre 1889 précisément, il allait inverser ses prénoms et signer Claude-Achille puis uniquement Claude, à partir de septembre 1892. Avec l’obtention de cette récompense, il termine brillamment ses études au Conservatoire de Paris, à la satisfaction de sa famille et de ses professeurs.

Article tiré du livre-disque Claude Debussy et le prix de Rome (Glossa, 2009).

Permalink

https://www.bruzanemediabase.com/it/node/7153

data di pubblicazione : 18/09/23

Les cantates de Debussy à l’heure des bouleversements esthétiques « fin de siècle »

Permalink

https://www.bruzanemediabase.com/it/node/7152

data di pubblicazione : 16/09/23

Uthal de Méhul

Livre-disque Étienne-Nicolas Méhul. Uthal (2017). 

Permalink

https://www.bruzanemediabase.com/it/node/7146

data di pubblicazione : 08/01/24

Camille Saint-Saëns, témoignages sur le prix de Rome

L’attitude de Saint-Saëns vis-à-vis du prix de Rome est aussi complexe et ambiguë que ses rapports avec l’Institut. Sa propre expérience s’est avérée malheureuse, puisqu’il échouera deux fois au concours. Quelques années plus tard, ses articles dans la presse chercheront, non pas à remettre en cause l’existence même du prix, mais, à travers son organisation, à stigmatiser l’attitude des institutions à l’égard des lauréats.

Article tiré du livre-disque Camille Saint-Saëns et le prix de Rome (Glossa, 2010).

Permalink

https://www.bruzanemediabase.com/it/node/7141

data di pubblicazione : 13/09/23

Saint-Saëns et le prix de Rome : scandale(s) ?

Permalink

https://www.bruzanemediabase.com/it/node/7139

data di pubblicazione : 16/09/23

La musique religieuse sous le Second Empire

Alors que la pratique religieuse était déjà en recul depuis plusieurs décennies, la Révolution porta un coup sérieux à l’Église de France en proclamant la dissolution des congrégations, en poussant la plupart de ses prêtres à l’exil ou encore en adoptant un calendrier républicain. Diminuée par une politique anticléricale, l’Église fut aussi éprouvée dans ses pierres. Beaucoup de lieux de culte n’avaient en effet plus été entretenus ou avaient été démantelés à la suite de leur vente comme biens nationaux.

Permalink

https://www.bruzanemediabase.com/it/node/7136

data di pubblicazione : 15/09/23

Pour une introduction à la dimension visuelle d’une représentation à l’Académie nationale de musique au XIXe siècle : le concept de « tableau »

Permalink

https://www.bruzanemediabase.com/it/node/6694

data di pubblicazione : 16/09/23

Laure Cinti-Damoreau : la formation d’une première chanteuse

Cet article est une étude du parcours de Laure Cinti-Damoreau avant la création de La Muette de Portici, depuis son entrée au Conservatoire de Paris, jusqu’à son départ du Théâtre-Italien. En suivant les articles de presse qui lui sont consacrés jusqu'en 1828, il se propose d’évaluer l'aura de la cantatrice : ce que nom Cinti peut représenter pour les spectateurs parisiens à la fin de la Restauration en termes de prouesses vocales et de bouleversements esthétiques.

Permalink

https://www.bruzanemediabase.com/it/node/6538

data di pubblicazione : 15/09/23

Parodier l’Italie sur la scène de l’Académie royale (1774-1789). De la partition au livret, un déplacement des enjeux

Le dernier tiers du XVIIIe siècle représente, pour l’opéra français, l’une des périodes les plus denses en termes d’initiatives artistiques, tant sur un plan théâtral, musical, scénographique et chorégraphique que poétique. Des tentatives de restaurer l’ancien goût national voisinent avec d’autres destinées à promouvoir le nouveau style « international ».

Permalink

https://www.bruzanemediabase.com/it/node/6522

data di pubblicazione : 16/09/23

Mozart et l'opéra-comique

Permalink

https://www.bruzanemediabase.com/it/node/6514

data di pubblicazione : 26/09/23